lundi 2 décembre 2013

Traverser la nuit de Martine Pouchain

Service de presse
 
Auteur: Martine Pouchain

Éditeur:  Sarbacane, collection Exprim'

Date de sortie: 27 Avril 2012

Prix: 14.73 euros

Nombre de page: 217

Résumé :

Un grand roman humain «dans le jardin du Bien et du Mal», sur le thème de l'amour infini.

Martine Pouchain raconte la Picardie comme Jim Harrison le Montana : une enquête en forme de conte poétique, des personnages drôles ou inquiétants...

«J'ai vingt-cinq ans et je suis flic, ou comme on veut : keuf, condé, bourre, poulet, perdreau, mickey, cow-boy.»
Le «flic», c'est Vilor. Dans la petite ville picarde où il opère, rien ne se passe jamais... et pourtant, un jour, il y a un meurtre. Pour Vilor, c'est important bien sûr cette histoire de meurtre, vu qu'il est devenu flic pour combattre le mal. Mais ce qui l'est tout autant, c'est Blanche, la fille du mort. D'abord parce que tous les hommes tombent raides dingues rien qu'en la regardant, ce qui fait autant de suspects potentiels... et aussi parce que Vilor est un homme comme les autres, et l'enquête une belle occasion de passer du temps avec elle.

Mon avis:

Vilor est un jeune flic de 25 ans dans une petite bourgade Picarde où il ne se passe pas grand chose.

Jusqu'au jour où un meutre va avoir lieu. Le père Jaron va être retrouvé mort. De quoi affoler les habitants d'Etrenjoie.

Vilor va trouver en ce meutre l'occasion de se rapprocher de la belle qui affole les coeurs: Blanche. La fille du défunt.

Nombreux sont les hommes qui veulent conquérir la belle. Ils se bousculent au portillon pour s'attirer les bonnes gràces de Blanche.

Parmis eux, se trouve peut être le coupable. Mais qui?

Traverser la nuit n'est ni un policier ni un roman. Je n'arrive pas à qualifier ce livre.

Je n'ai pas réussi à rentrer dans ce livre. J'ai trouvé le rythme long et l'histoire sans saveur.

L'histoire s'étire pour au finale être creuse. Pas de réelle action, juste un combat de coq pour charmer une ado de 17 ans qui bien qu'elle vienne de perdre son père n'en joue pas moins avec les hommes.

Les dialogues en patois Picard m'ont "amusé" au début mais bien vite lassé. Devoir se référer à une traduction à chaque fois où presque m'a dérangé.

Ma seule agréable surprise a été le dénouement. Je ne m'attendais pas à ce que l'histoire prenne cette tournure. L'auteure a su m'aiguiller en erreur dans ma recherche du coupable.

Malheureusement, ça a été mon seul plaisir dans Traverser la nuit. Trés vite lu, trés vite oublié.

Je remercie Claire et les éditions Sarbacane pour l'envoie de ce service de presse.

Note de 1/5








 

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